T900
2H30
Durée 1H30 Soirée Enfants | 5€ - Réservation 02 41 22 20 20 Class’Jazz | 18h30 | Bar du Quai Nouveau | Payez avec votre compte CO2. Accueil spécifique et programme disponible en braille et gros caractères.
mercredi 18 mars 15
18:30
Pour raisons de santé, Gianmaria Testa se voit dans l'obligation d'annuler sa venue au Quai, ce sera l'occasion pour nous d'accueillir le jazz de Kyle Eastwood. Depuis son premier disque en tant que leader en 1998, Kyle Eastwood n’a cessé de repousser les frontières de son univers personnel en déclinant l’étendue de ses goûts musicaux. Timepieces, le nouvel album du contrebassiste, sonne comme un autoportrait musical. Autour des compositions souvent collectives de son quintet, Kyle Eastwood y fait des reprises choisies (Herbie Hancock et Horace Silver) qui révèlent son amour du hard bop historique. Habitué de la composition de musique de films, ceux de son père entre autres (Million Dollar Baby, Gran Torino, Invictus), il y livre également une relecture d’un de ses thèmes pour le cinéma. Entouré du pianiste Andrew Mc Cormack et du trompettiste Quentin Collins, ses compères depuis près de dix ans, Kyle Eastwood a enrichi sa musique avec de récentes collaborations, Brandon Allen aux saxophones et Ernesto Simpson à la batterie. Ainsi l’élégance mélodique et le groove soutenu de ce quintet s’ouvrent à d’autres horizons, le swing latin en est un. Nous en serons des auditeurs privilégiés lors de ce concert en avant-première, la sortie de ce nouvel album étant prévue en avril 2015. PROGRAMME DE SALLE Time pieces « Ce que j’ai voulu faire dans ce disque, c’est payer ma dette au jazz de la fin des années 50 et du début des années 60 » explique Kyle Eastwood. « Ce hard bop lyrique, plein de groove et aux harmonies sophistiquées que jouaient les Jazz Messengers d’Art Blakey quand Lee Morgan et Wayne Shorter en faisaient partie, les formations d’Horace Silver sur le label Blue Note ou les différents quintets de Miles Davis tout au long des années 60. « C’est la musique que je préfère et qui n’a jamais cessé de me fasciner depuis que je l’ai découverte à l’adolescence… Ce qui était extraordinaire à l’époque c’est à quel point tous ces groupes possédaient une signature sonore immédiatement identifiable. Je me suis demandé d’où venait cette singularité et j’en ai conclu que c’était principalement le fruit d’un travail collectif sur le long terme… C’est avec cette façon de concevoir et de faire la musique que j’ai cherché de renouer dans ce nouvel album. » La presse en parle « Le bassiste Kyle Eastwood n’a de cesse depuis 1998 et la sortie de son premier disque, de ravir les amateurs de jazz et de cinéma. Il excelle autant dans l’exercice périlleux d’accompagner les images misent en scène par son père, que dans l’écriture et l’interprétation de ses projets personnels. Le jeune prodige, qui fut bercé toute son enfance par les phrasés légendaires de Miles, Charlie et Duke, déploie un style d’écriture moderne et accessible. Son jazz inspiré est gorgé de swing, ses rythmiques sont puissantes et ses mélodies inventives. » Nouvelle Vague (mars 2013) « Le jazz est un truc de famille chez les Eastwood, un truc qui se transmet de père en fils : Clint fait découvrir à Kyle les 78 tours de Count Basie, Duke Ellington, Buddy Rich... Kyle choisit d’en faire sa vie. Il ne quitte plus ses basse et contrebasse jusqu’à se forger une excellente réputation. Entre jazz pur, éléctro rythmée et funk entrainant, sa musique n’ennuie pas, elle vivifie. Les musiciens qui l’entourent n’y sont pas pour rien. Son nouvel album cloue définitivement le bec des mauvaises langues qui disaient que Kyle Eastwood n’était que le fils de son père. En route vers la gloire. » Sunset sunside (avril 2013)
T900
2H30
Durée 1H30 Soirée Enfants | 5€ - Réservation 02 41 22 20 20 Class’Jazz | 18h30 | Bar du Quai Nouveau | Payez avec votre compte CO2. Accueil spécifique et programme disponible en braille et gros caractères.
mercredi 18 mars 15
18:30